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Syntaxe:COMMAND {Chemin} {Périphérique} {/P} {E: nnnn} {/CIK Commande} {F} {/MSG} {Périphérique}
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1001 Astuces Nam@ni
http://www.namani.net
Command
Charger une copie de l'interpréteur de commandes ou remplacer l'interpréteur de commandes actif.
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Syntaxe:COMMAND {Chemin} {Périphérique} {/P} {E: nnnn} {/CIK Commande} {F} {/MSG} {Périphérique}
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Notes:Le processeur de commandes COMMAND.COM figure parmi les trois fichiers qui forment le noyau du système d'exploitation. Lorsque vous lancez le système, il est chargé automatiquement dans la mémoire centrale et s'y installe de façon permanente. L'utilisateur dispose ainsi de toutes les commandes internes à n'importe quel endroit du système. Le processeur reçoit les commandes entrées au clavier, les analyse et déclenche leur traitement. Parallèlement, il assure le dialogue entre le système et l'utilisateur par une série de messages d'erreur et de confirmation. Pour choisir un processeur de commandes spécifique, indiquez le nom du fichier correspondant et le chemin d'accès complet sous la variable COMSPEC contenue dans la mémoire de l'environnement. De cette façon, Si vous devez charger le processeur de commandes par la suite, le système consultera la variable COMSPEC pour localiser le fichier.
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Exemple:
Etant donné que le fichier COMMAND.COM est réparti entre la mémoire et le disque dur, la variable COMSPEC joue un rôle essentiel pour charger la partie externe en cas de besoin (par exemple, après un message d'erreurs). Si vous avez chargé une copie du processeur de commandes avec l'option /P et modifié la mémoire de l'environnement comme en redéfinissant, par exemple, le chemin de recherche sous PATH, ces modifications porteront uniquement sur la copie active. Lorsque vous quittez une copie, le système rétablit les paramètres du processeur permanent. Lorsque vous travaillez avec une copie du processeur de commandes, n'activez en aucun cas un programme résident comme, par exemple, le pilote de clavier KEYB.COM, ou des utilitaires comme SIDEKICK ou autres. Ces programmes s'installent derrière la copie du processeur de commandes et lorsque vous le quittez, la mémoire ne peut pas être libérée, ce qui risque de provoquer un arrêt brutal du système. Il en est de même lorsque vous activez MS-DOS sans refermer l'application dans laquelle vous travaillez. Cette "sortie" utilise en réalité une copie du processeur de commandes, qui est chargée directement par le programme. Pour la refermer, exécutez la commande EXIT comme pour COMMAND.COM. Pour en savoir plus, reportez-vous à la commande SHELL. Si vous démarrez systématiquement
à partir d'une disquette, copiez le processeur de commandes sur un disque
virtuel et spécifiez le chemin d'accès dans le fichier AUTOEXEC.BAT avec la commande suivante:
Cela vous épargne les demandes incesssantes d'introduction de la disquette avec COMMAND.COM.
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Syntaxe:
Cette commande permet d'insérer des commentaires dans les lignes de CONFIG.SYS. Celles-ci ne seront pas exécutées. Ces textes peuvent servir d'explication au déroulement du fichier.
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Syntaxe:
COMSPEC est une variable d'environnement qui indique l'emplacement de l'interpréteur de commandes COMMAND.COM. Elle doit être définie dans AUTOEXEC.BAT Si l'interpréteur de commandes ne se trouve pas dans le répertoire racine. Normalement, MS-DOS place le COMMAND.COM du répertoire racine du lecteur de lancement dans la variable COMSPEC. Si un autre interpréteur de commandes est désigné par la commande SHELL dans le fichier CONFIG.SYS, le même interpréteur de commandes doit être indiqué par précaution dans COMSPEC à l'aide de la commande SET dans AUTOEXEC.BAT.
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